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Prévoyance
Expertise juridique, sérénité assurée
Parce que la complémentaire santé ne couvre pas tout, bénéficiez d’une prévoyance sur-mesure pour sécuriser vos revenus et votre cabinet en toutes circonstances.
Je suis intéresséExpertise juridique, sérénité assurée
Parce que la complémentaire santé ne couvre pas tout, bénéficiez d’une prévoyance sur-mesure pour sécuriser vos revenus et votre cabinet en toutes circonstances.
Je suis intéresséAvocats déjà couverts
Ans d'expérience sur le secteur
Collaborateurs à votre service
L’exercice du droit exige rigueur, présence et disponibilité. Mais un accident ou une maladie peut suspendre brutalement votre activité, mettant en péril vos revenus et vos charges fixes. La CNBF offre une protection limitée, notamment pour les jeunes avocats ou en début d’installation. Une prévoyance professionnelle adaptée est essentielle pour garantir la continuité de votre niveau de vie, la prise en charge de vos frais fixes et la sécurité de vos proches. Découvrez nos solutions pensées pour les avocats, avec une approche souple et fiscalement avantageuse.
En tant qu’avocat libéral, vous êtes seul responsable de votre activité et de votre chiffre d’affaires. Si un aléa de santé vous contraint à cesser temporairement ou définitivement votre activité, vos revenus peuvent chuter brutalement. Notre solution de prévoyance a été conçue pour protéger votre capacité à exercer et assurer la continuité de vos engagements professionnels et personnels. Avec une couverture adaptée à votre profession et à vos besoins spécifiques, vous anticipez sereinement l’imprévu.
La profession d’avocat est exigeante, avec une activité parfois irrégulière et une forte dépendance à votre capacité d’exercice :
En cas d’arrêt de travail, vous ne percevez aucun revenu tant que vous n’exercez pas.
Vos charges (loyer, secrétariat, cotisations, etc.) continuent de courir, même sans rentrée d’honoraires.
La protection offerte par la CNBF (Caisse Nationale des Barreaux Français) est limitée, notamment les premières semaines d’arrêt.
Exemple concret : un avocat libéral hospitalisé suite à un accident ne perçoit aucune indemnité pendant plusieurs semaines. Sans prévoyance complémentaire, il doit puiser dans ses économies pour payer ses charges fixes et ses frais personnels.
Les avocats ne sont pas légalement tenus de souscrire à une couverture prévoyance complémentaire, mais cette démarche est fortement conseillée pour garantir une continuité de vie professionnelle en cas de difficulté.
Notre contrat de prévoyance conçu pour les avocats libéraux comprend :
Garanties essentielles :
Indemnités journalières en cas d’incapacité de travail (franchise adaptée à votre activité).
Rente d’invalidité (partielle ou totale).
Capital décès pour protéger vos proches.
Options proposées :
Prise en charge des frais de fonctionnement du cabinet.
Rente de conjoint et rente éducation.
Renforts spécifiques en cas d’accident ou d’hospitalisation prolongée.
Trois niveaux de couverture :
Essentielle : une solution économique pour les jeunes avocats ou ceux au début d’activité.
Confort : pour assurer les charges fixes et un revenu complémentaire significatif.
Premium : couverture renforcée, adaptée aux cabinets structurés ou à revenus élevés.
Nos contrats sont pensés pour s’adapter aux différentes formes d’exercice : individuel, cabinet groupé, SELARL…
Votre statut, vos revenus et vos engagements changent avec le temps. Voici les situations où une révision de votre protection s’impose :
Installation au Barreau : sécurisez votre démarrage avec des indemnités journalières adaptées à la carence de la CNBF.
Développement de la clientèle ou passage en société (SELARL, SCP) : mise à jour des couvertures pour suivre l’évolution de votre chiffre d’affaires et de vos charges fixes.
Spécialisation (droit pénal, affaires, social...) : certains domaines entraînent plus de stress ou d’exposition, pensez à renforcer vos garanties d’invalidité et d’arrêt.
Accroissement de responsabilités familiales (enfants, emprunt immobilier) : prévoir une rente éducation ou un capital décès conséquent devient crucial.
Changement de rythme (plus d’audiences, contentieux lourds) : l’usure mentale ou physique justifie une relecture du contrat.
Préparation de la retraite ou passage en activité partielle : l’allègement progressif des garanties doit être maîtrisé sans perte de protection.
Notre conseil : Votre contrat doit refléter votre réalité du moment. En échangeant chaque année avec votre conseiller, vous anticipez plutôt que de subir.
Notre solution de prévoyance pour les avocats présente des bénéfices concrets :
Flexibilité : vous définissez le montant des indemnités et les délais de franchise en fonction de vos besoins.
Tarification avantageuse : accords négociés avec des assureurs spécialistes des professions libérales.
Accompagnement dédié : un conseiller expert vous guide dans la mise en place de votre contrat et son évolution au fil de votre carrière.
Digitalisation complète : outils de déclaration en ligne, espace sécurisé, gestion autonome des demandes.
Parce que votre activité repose entièrement sur votre capacité à plaider, négocier et conseiller, il est essentiel de disposer d’une couverture adaptée. Notre prévoyance vous offre la sérénité nécessaire pour exercer votre métier avec rigueur, même face à l’imprévu.
Chez CIPSE, nous connaissons votre métier, ses exigences et ses rythmes. C’est pourquoi nous proposons :
Nous défendons une approche humaine, claire, transparente et durable de l’assurance santé.
Bénéficiez de notre accompagnement gratuit et sans engagement pour comparer les meilleures offres prévoyance pour les avocats.
L’activité d’avocat est soumise à de nombreuses contraintes, notamment un rythme intense, des responsabilités importantes, et un exercice souvent indépendant. En cas de maladie, d’accident ou d’invalidité, l’avocat peut se retrouver dans l’incapacité d’exercer, ce qui entraîne une interruption de ses revenus professionnels. La prévoyance est donc essentielle pour assurer une protection financière, en compensant la perte de revenu grâce au versement d’indemnités journalières ou d’une rente d’invalidité. Cette protection permet de couvrir les charges fixes du cabinet, telles que les loyers, les salaires du personnel et les cotisations sociales, ainsi que les dépenses personnelles. Par ailleurs, la prévoyance inclut aussi souvent une protection en cas de décès, garantissant un capital ou une rente aux proches, ce qui est un élément clé pour sécuriser l’avenir familial. En somme, la prévoyance permet à l’avocat de préserver sa stabilité financière et de se concentrer sur sa guérison ou sa réadaptation professionnelle.
Un contrat de prévoyance destiné aux avocats doit couvrir les risques majeurs liés à leur activité : incapacité temporaire de travail, invalidité permanente et décès. L’incapacité temporaire assure le versement d’indemnités journalières en cas d’arrêt de travail, permettant de faire face aux charges courantes. L’invalidité permanente, quant à elle, prévoit une rente proportionnelle au taux d’invalidité reconnu, qui compense la perte partielle ou totale de la capacité à exercer. En cas de décès, le contrat prévoit un capital ou une rente versée aux bénéficiaires désignés. Il est aussi recommandé d’inclure des garanties complémentaires, telles que l’exonération des cotisations en cas d’arrêt, la prise en charge des frais médicaux liés au sinistre, ou encore une assistance juridique adaptée. Ces garanties permettent d’ajuster la protection selon les besoins spécifiques liés au métier d’avocat.
La prévoyance obligatoire est souvent imposée par les barreaux ou par certains régimes sociaux, et offre une couverture minimale. Cette prévoyance de base garantit une protection limitée qui ne suffit pas toujours à couvrir l’ensemble des risques professionnels ni à maintenir le niveau de vie de l’avocat en cas de sinistre. La prévoyance complémentaire, quant à elle, est une assurance privée que l’avocat souscrit volontairement pour renforcer sa protection. Elle permet de personnaliser les garanties (montants, délais de carence, options) et d’obtenir une couverture plus étendue, notamment adaptée à la variabilité des revenus et à la structure de ses charges. La combinaison des deux permet d’optimiser la sécurité financière face aux aléas.
Le montant des indemnités journalières doit être fixé en fonction du revenu professionnel net de l’avocat et des charges fixes de son cabinet. Étant donné que les revenus peuvent être variables d’une année sur l’autre, il est conseillé de baser le montant sur une moyenne des revenus nets des trois dernières années. Il faut également considérer les délais de carence (période avant le début du versement des indemnités) et choisir une franchise compatible avec les capacités financières personnelles. Enfin, le plafond des indemnités doit couvrir suffisamment les charges fixes et permettre de maintenir un niveau de vie correct. Un montant trop faible risque d’entraîner une sous-assurance, tandis qu’un montant trop élevé impactera le coût de la prime. Il est donc crucial de bien évaluer ces éléments pour équilibrer couverture et budget.
En cas d’arrêt de travail, l’avocat doit notifier son assureur dans un délai généralement compris entre 48 et 72 heures, en envoyant un certificat médical attestant de l’incapacité d’exercer. L’assureur pourra demander un examen médical complémentaire pour évaluer la nature et la durée de l’incapacité. Pendant toute la période d’arrêt, l’avocat doit respecter les obligations prévues dans le contrat, notamment en matière de suivi médical et de déclaration des évolutions de santé. En cas d’invalidité, une expertise médicale déterminera le taux d’invalidité et donc le montant de la rente à verser. Il est recommandé de conserver toutes les pièces justificatives et de solliciter l’aide d’un courtier ou d’un conseiller pour faciliter ces démarches, éviter les erreurs et garantir une prise en charge rapide et adaptée.