Architectes
Prévoyance
Chaque détail compte. Surtout votre sécurité financière.
Maîtrisez les imprévus grâce à une couverture prévoyance adaptée à la réalité des architectes : revenus fluctuants, responsabilités, indépendance.
Je suis intéresséChaque détail compte. Surtout votre sécurité financière.
Maîtrisez les imprévus grâce à une couverture prévoyance adaptée à la réalité des architectes : revenus fluctuants, responsabilités, indépendance.
Je suis intéresséAvocats déjà couverts
Ans d'expérience sur le secteur
Collaborateurs à votre service
En tant qu’architecte, votre métier repose sur votre créativité, votre expertise… et votre disponibilité. Mais en cas d’incapacité temporaire ou définitive, les conséquences peuvent être lourdes sur le plan financier et professionnel. Or, les régimes obligatoires ne couvrent qu’une partie de vos besoins réels. Nos solutions de prévoyance vous offrent une couverture complète et évolutive, tenant compte des particularités de votre statut et de vos revenus, pour vous permettre de poursuivre vos projets l’esprit tranquille.
En tant qu’architecte libéral, votre activité repose sur votre créativité, vos compétences techniques et votre capacité à assurer le suivi de vos projets. Un accident, une maladie ou un arrêt de travail peut interrompre votre activité et compromettre vos revenus. Notre solution de prévoyance professionnelle vous permet d’anticiper ces aléas et de garantir la continuité de votre activité et la sécurité de vos proches.
L’exercice libéral de l’architecture implique des responsabilités multiples et des charges importantes :
Une incapacité de travail retarde les projets, fragilise votre image professionnelle et suspend vos honoraires.
Les charges fixes (salaires, logiciels, locaux, assurances) restent dues, quelle que soit votre situation de santé.
Le régime social (CIPAV ou SSI selon votre statut) offre une protection minimale en cas d’arrêt.
Exemple concret : un architecte indépendant victime d’un accident ne peut assurer les réunions de chantier ni la coordination des travaux. Ses missions sont suspendues, sans que son régime de base n’offre une compensation suffisante pour couvrir ses charges ni protéger son revenu.
Il est donc essentiel d’anticiper ces situations pour préserver la viabilité de votre activité.
Notre contrat de prévoyance destiné aux architectes libéraux comprend :
Garanties de base :
Versement d’indemnités journalières en cas d’arrêt de travail (franchise personnalisable).
Rente d’invalidité partielle ou totale, selon votre capacité résiduelle à exercer.
Capital décès pour protéger vos proches.
Options complémentaires :
Prise en charge des charges fixes (loyer, logiciel, salaires…).
Rente éducation et rente de conjoint.
Couverture renforcée en cas d’accident ou d’hospitalisation prolongée.
Trois formules au choix :
Essentielle : pour une couverture de base à coût réduit.
Confort : équilibre optimal entre garanties et budget.
Premium : protection étendue pour les cabinets structurés ou les revenus élevés.
Votre contrat est ajusté à votre statut (indépendant, société d’architecture, collaborateur libéral) et à la taille de votre structure.
Votre métier conjugue créativité, responsabilité juridique et pression sur les délais. À chaque évolution de votre parcours, votre couverture doit être réévaluée :
Installation en libéral ou en société (SARL, SAS, SELARL) : dès les premiers projets, sécurisez vos revenus et la prise en charge de vos charges professionnelles en cas d’arrêt.
Obtention de marchés publics ou privés importants : vos responsabilités s’alourdissent, pensez à renforcer vos garanties en incapacité et invalidité partielle.
Recrutement d’un collaborateur, assistant ou associé : les charges fixes augmentent, tout comme les obligations. Votre prévoyance doit les intégrer.
Pathologie invalidante ou perte de mobilité (dos, vue, main) : même une incapacité partielle peut vous empêcher d’exercer sereinement. Une rente d’invalidité proportionnée devient essentielle.
Projets familiaux ou achat immobilier : ces engagements personnels justifient une révision des garanties décès et des bénéficiaires.
Réduction de l’activité ou passage à un rôle de conseil : vos besoins changent, mais certains risques demeurent. Conservez une couverture minimale sur les aléas majeurs.
Notre conseil : En tant que professionnel indépendant, votre équilibre repose sur votre capacité à exercer. Une couverture actualisée est votre meilleure garantie pour continuer à bâtir sereinement.
Notre offre s’adresse spécifiquement aux réalités des architectes :
Modularité : franchises, montants, options… tout est ajustable.
Tarification négociée : des tarifs compétitifs auprès de partenaires spécialisés dans les professions créatives et techniques.
Conseil expert : nos conseillers comprennent les spécificités de votre métier et vous aident à construire une solution sur-mesure.
Gestion digitale : déclaration en ligne, accès à un espace client sécurisé, alertes et suivi en temps réel.
Avec notre prévoyance, vous vous protégez contre les imprévus tout en garantissant la continuité de vos projets et la sécurité de vos proches. Travailler l’esprit libre devient possible.
Chez CIPSE, nous connaissons votre métier, ses exigences et ses rythmes. C’est pourquoi nous proposons :
Nous défendons une approche humaine, claire, transparente et durable de l’assurance santé.
Bénéficiez de notre accompagnement gratuit et sans engagement pour comparer les meilleures offres prévoyance pour les architectes.
L’architecte est un professionnel libéral souvent indépendant ou à la tête d’un cabinet. Son revenu dépend directement de sa capacité à travailler et à assurer le suivi des projets, parfois sur plusieurs mois. En cas d’arrêt de travail dû à une maladie, un accident ou une invalidité, l’activité peut être brutalement interrompue, mettant en péril sa stabilité financière. De plus, les architectes supportent généralement des charges fixes importantes (salaires d’assistants, loyer, logiciels, assurances professionnelles, etc.). Une couverture prévoyance permet d’assurer un revenu de remplacement en cas d’incapacité temporaire ou définitive à exercer. En cas de décès, elle protège la famille ou les associés en versant un capital ou une rente. Cette protection est d’autant plus cruciale que les régimes obligatoires (comme celui de la CIPAV) ne suffisent généralement pas à couvrir le niveau de vie antérieur. La prévoyance est donc une mesure de sécurité indispensable pour continuer à assumer ses engagements professionnels et personnels.
Le contrat de prévoyance idéal pour un architecte doit couvrir trois grands risques : l’incapacité temporaire de travail (avec indemnités journalières), l’invalidité (avec rente) et le décès (avec versement d’un capital ou d’une rente à la famille). Il est recommandé d’ajouter une garantie d’exonération des cotisations pendant l’arrêt, ainsi qu’une option de maintien des garanties même en cas de suspension d’activité prolongée. Le contrat doit aussi permettre d’ajuster le montant des prestations en fonction de l’évolution du chiffre d’affaires et des charges du cabinet. Pour les architectes employeurs ou associés, une garantie de remboursement des frais professionnels (GRFP) peut être pertinente pour couvrir les charges fixes pendant l’arrêt. Enfin, une couverture contre les accidents de la vie courante (et pas seulement professionnels) est essentielle, car un simple accident domestique peut avoir de lourdes conséquences sur l’activité.
L’assurance décennale et la prévoyance répondent à deux besoins totalement différents, bien que tous deux indispensables à l’exercice d’un architecte. L’assurance décennale est une garantie légale qui couvre pendant 10 ans la solidité de l’ouvrage réalisé par l’architecte ou les dommages le rendant impropre à sa destination. Elle protège le maître d’ouvrage (le client) et engage la responsabilité professionnelle de l’architecte. À l’inverse, la prévoyance concerne la personne de l’architecte : elle protège son revenu en cas d’arrêt de travail, d’invalidité ou de décès. Elle permet à l’architecte ou à sa famille de maintenir un niveau de vie convenable, indépendamment de ses responsabilités professionnelles. Ces deux assurances sont donc complémentaires : l’une est obligatoire et protège le client, l’autre est facultative mais vitale pour la sécurité financière du professionnel lui-même.
Pour évaluer correctement le niveau de couverture nécessaire, l’architecte doit d’abord analyser ses revenus moyens sur les trois dernières années, en tenant compte de leur variabilité éventuelle. Il convient également de calculer le montant des charges fixes mensuelles (salaires, cotisations, loyer, abonnements logiciels, etc.) qu’il continuerait à devoir payer même en cas d’arrêt. À cela s’ajoute le niveau de revenu personnel nécessaire pour vivre décemment et faire face aux engagements familiaux. Les indemnités journalières doivent permettre de couvrir ces deux volets. La franchise (délai avant le versement des indemnités) peut être adaptée selon la trésorerie disponible. Pour l’invalidité, la rente doit compenser partiellement ou totalement la perte de capacité à exercer. Enfin, le capital décès peut être défini en fonction des besoins des ayants droit : remboursement d’un emprunt, financement des études des enfants, maintien du train de vie, etc.
Lorsqu’un architecte est contraint à l’arrêt, il doit d’abord consulter un médecin pour obtenir un certificat d’arrêt de travail. Ce document doit être transmis rapidement à l’assureur, en général dans un délai de 48 à 72 heures. Il est important de bien conserver tous les justificatifs médicaux, qui serviront à établir l’incapacité et sa durée. L’assureur peut demander un contrôle médical ou une expertise complémentaire. Une fois le dossier validé, les indemnités journalières sont versées après expiration du délai de franchise prévu au contrat. Pendant la période d’arrêt, il est essentiel de respecter les obligations contractuelles (déclarations, suivi médical, etc.). En cas d’invalidité, une évaluation médicale permet de fixer un taux d’incapacité et donc le montant de la rente. La gestion administrative d’un sinistre peut être lourde ; c’est pourquoi il est recommandé d’être accompagné par un courtier, qui pourra défendre les intérêts de l’architecte, s’assurer du bon respect du contrat, et accélérer les démarches auprès de la compagnie.