Ne laissez pas la retraite au hasard. Préparez-la avec méthode.
Entre régime autonome et instabilité des revenus, l’épargne retraite des avocats mérite une approche sur-mesure. Optimisez votre fiscalité et sécurisez votre avenir dès aujourd’hui.
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Collaborateurs à votre service
Votre carrière est faite d’engagements, de dossiers urgents et de responsabilités. Mais au moment de quitter la robe, nombreux sont les avocats à constater une baisse sensible de leurs revenus. Pour éviter cela, une stratégie d’épargne retraite adaptée est indispensable. Nos solutions prennent en compte la complexité de votre statut, la fiscalité applicable et les spécificités de la CNBF. Avec nous, vous préparez votre retraite dans les meilleures conditions, en toute autonomie et avec clarté.
La profession d’avocat libéral est marquée par une grande autonomie et une forte variabilité des revenus. Préparer sa retraite est un enjeu majeur pour assurer la continuité de son niveau de vie après une carrière intense. Notre produit d’épargne retraite est spécialement conçu pour les avocats, en prenant en compte leurs particularités fiscales et professionnelles, afin de leur offrir une solution flexible, performante et sécurisée pour préparer l’avenir.
Les avocats font face à une retraite souvent insuffisamment couverte par les régimes obligatoires, notamment en raison de revenus fluctuants et d’une durée d’activité qui peut varier fortement. Le poids des charges fixes liées au cabinet et la nécessité de protéger leur famille rendent la constitution d’un capital retraite indispensable. La fiscalité avantageuse de certains dispositifs d’épargne retraite permet d’alléger la charge fiscale tout en capitalisant sur le long terme.
Notre offre se décline en plusieurs formules, avec des options permettant d’adapter les versements à la situation professionnelle et personnelle de chacun :
Basique : pour démarrer et sécuriser un complément retraite.
Confort : avec gestion dynamique et optimisation fiscale.
Premium : pour une gestion patrimoniale complète et un accompagnement personnalisé.
Elle inclut des possibilités de sortie en capital, rente viagère ou mixte, ainsi qu’une gamme diversifiée de supports d’investissement, adaptée aux profils d’avocats.
Les besoins d’épargne retraite évoluent avec les étapes clés de votre parcours : au début d’activité, il s’agit de poser les bases d’une épargne régulière. Ensuite, l’augmentation progressive des versements permet d’assurer un complément confortable. En cas de changement de situation professionnelle, de structure ou d’objectifs, notre équipe vous accompagne pour adapter votre plan. Enfin, à l’approche de la retraite, vous choisissez la forme de sortie la plus adaptée à vos projets et besoins.
Les avantages majeurs de notre solution résident dans sa flexibilité, sa fiscalité avantageuse, un accompagnement personnalisé par des experts des professions libérales, et des outils digitaux performants pour suivre et moduler ses versements. Cette solution vous offre la sérénité d’une retraite bien préparée, tout en laissant la liberté d’adapter votre épargne à l’évolution de votre carrière.
Chez CIPSE, nous connaissons votre métier, ses exigences et ses rythmes. C’est pourquoi nous proposons :
Nous défendons une approche humaine, claire, transparente et durable de l’assurance santé.
Bénéficiez de notre accompagnement gratuit et sans engagement pour comparer les meilleures offres épargne-retraite pour les avocats.
Les avocats cotisent à une caisse spécifique, la CNBF (Caisse nationale des barreaux français), qui verse une retraite de base et complémentaire. Toutefois, cette pension est largement inférieure aux revenus d’activité d’un avocat libéral. En moyenne, un avocat peut espérer une retraite globale d’environ 2 500 à 3 000 € brut mensuel, alors que ses revenus pendant la vie active peuvent dépasser les 7 000 € mensuels. Ce décalage important met en péril le maintien du niveau de vie une fois l’activité arrêtée, d’autant que les charges personnelles (enfants, crédits, fiscalité) peuvent perdurer. Une épargne retraite complémentaire, comme un PER individuel, est un levier efficace pour anticiper cette chute de revenus. Elle permet de se constituer un capital ou une rente pour sa retraite, tout en bénéficiant de déductions fiscales pendant la phase d’épargne. C’est un outil indispensable à toute stratégie patrimoniale de long terme pour un avocat.
Depuis l’instauration de la loi Pacte en 2019, le Plan Épargne Retraite (PER) remplace avantageusement le contrat Madelin. Si ce dernier permettait déjà une déduction fiscale, il imposait une sortie uniquement en rente, souvent perçue comme contraignante. Le PER, lui, offre une grande souplesse : sortie en rente, en capital, ou les deux. Il permet également le transfert d’anciens contrats Madelin vers ce nouveau support, sans perte des droits. Fiscalement, les deux dispositifs permettent une déduction dans la même limite : 10 % du bénéfice imposable, dans un plafond majoré pour les indépendants. Pour un avocat qui souhaite conserver la maîtrise de son épargne et s’adapter à ses besoins au moment de la retraite, le PER s’impose donc comme une solution plus moderne et flexible. Il permet en plus de loger les versements sur des supports dynamiques ou prudents selon l’horizon de placement.
Il est recommandé de commencer le plus tôt possible, dès l’installation ou dans les premières années d’exercice. Plus l’épargne retraite commence tôt, plus les versements peuvent être étalés dans le temps, et plus l’effet cumulé de la capitalisation sera fort. Par exemple, 300 € par mois placés pendant 30 ans génèrent un capital bien plus élevé que 1 000 € par mois pendant 10 ans. Ce phénomène d’intérêts composés est un atout puissant pour ceux qui anticipent. Toutefois, pour un avocat qui commence à épargner tardivement (à 45 ou 50 ans), il est toujours possible de profiter des plafonds de déduction élevés pour rattraper son retard fiscalement. Dans tous les cas, il est utile d’adapter la stratégie d’investissement à l’âge : plus on est jeune, plus on peut investir dans des supports dynamiques (actions), plus on approche de la retraite, plus il est prudent de sécuriser le capital.
Absolument. Une bonne stratégie retraite repose généralement sur la diversification des supports. L’épargne retraite (via un PER) peut venir compléter d’autres dispositifs patrimoniaux comme l’immobilier locatif, la détention d’une résidence secondaire, une assurance vie ou encore un PEA. L’intérêt est de créer plusieurs sources de revenus ou de capital disponibles au moment de la retraite, avec des régimes fiscaux et des niveaux de liquidité différents. Par exemple, un avocat peut se constituer une rente immobilière, couplée à un capital PER versé en une ou plusieurs fois. L’assurance vie offre quant à elle une souplesse de retrait avant l’âge de la retraite. L’enjeu est de bien articuler ces produits pour éviter les redondances ou les mauvaises surprises fiscales. Un conseil en gestion de patrimoine est souvent utile pour bâtir un scénario global cohérent, en tenant compte du niveau de risque, des objectifs de vie, et du train de vie souhaité.
Le PER individuel est un excellent outil de défiscalisation, particulièrement adapté aux avocats ayant des revenus élevés. Les versements volontaires effectués sur un PER sont déductibles du revenu imposable, dans la limite de 10 % des bénéfices professionnels de l’année précédente (plafonné à environ 80 000 € selon les cas). Ainsi, pour un avocat imposé dans la tranche marginale à 41 % ou plus, chaque 10 000 € versé sur un PER peut générer plus de 4 000 € d’économie d’impôt. À la retraite, les sommes sont imposées, mais souvent à un taux inférieur, puisque les revenus baissent. Le différentiel fiscal est donc favorable dans la durée. De plus, en cas de sortie en capital, seule une partie est soumise à l’impôt sur le revenu, le reste étant soumis aux prélèvements sociaux. Ce mécanisme permet d’arbitrer intelligemment la fiscalité, tout en préparant activement sa retraite.
