Construisez aujourd’hui la retraite que vous imaginez demain.
Vous savez mieux que personne que tout bon projet commence par une base solide. Nos solutions retraite accompagnent les architectes dans une gestion souple, durable et avantageuse de leur épargne.
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Dessiner votre avenir, c’est aussi penser à votre retraite. En tant qu’architecte, vos revenus peuvent varier selon les projets, et les régimes obligatoires n’offrent pas toujours la couverture attendue. C’est pourquoi nous avons conçu des solutions d’épargne retraite sur-mesure, souples, performantes et fiscalement intéressantes. Qu’il s’agisse d’un PER individuel ou d’une approche plus globale, vous bénéficiez d’un accompagnement expert pour construire un capital à votre image, durable et équilibré.
En tant qu’architecte libéral, vous évoluez dans une profession où la créativité se conjugue avec la gestion rigoureuse de votre activité. Préparer votre retraite en amont est essentiel pour préserver votre indépendance financière et la qualité de vie à venir. Notre produit d’épargne retraite a été développé en tenant compte des spécificités du métier d’architecte, avec des solutions souples et personnalisées qui vous accompagnent tout au long de votre carrière.
Les architectes sont confrontés à une profession où les revenus peuvent être irréguliers, surtout au début d’activité, et où la charge administrative et financière du cabinet est importante. Le régime obligatoire de retraite, bien qu’existant, ne garantit pas toujours un niveau de vie suffisant à la cessation d’activité. Constituer un capital complémentaire est ainsi une étape indispensable pour envisager sereinement l’avenir.
Notre offre propose plusieurs formules adaptées aux besoins et contraintes des architectes :
Formule Basique pour instaurer une épargne régulière et sécurisée.
Formule Confort avec une gestion plus dynamique et des options fiscales optimisées.
Formule Premium incluant des conseils patrimoniaux personnalisés et une large gamme de supports d’investissement.
Les versements sont modulables en fonction de la trésorerie et des projets professionnels, avec la possibilité de sortie en capital, rente ou mixte.
Les moments clés de votre carrière impactent vos besoins d’épargne : au lancement, la priorité est de commencer à épargner régulièrement. Lors du développement du cabinet, les versements peuvent être augmentés pour renforcer le capital. En cas de changement de statut ou de situation, une adaptation de la stratégie est nécessaire. Enfin, à l’approche de la retraite, vous choisissez la modalité de sortie la plus conforme à vos attentes, pour profiter pleinement de cette nouvelle étape de vie.
Les avantages de notre solution sont multiples : gestion souple et adaptable, optimisation fiscale grâce à la déductibilité des versements, accompagnement par des conseillers experts des professions libérales, accès à des outils digitaux pour suivre et ajuster facilement votre plan d’épargne. Ces éléments vous assurent une préparation retraite efficace, en phase avec vos exigences professionnelles et personnelles.
Chez CIPSE, nous connaissons votre métier, ses exigences et ses rythmes. C’est pourquoi nous proposons :
Nous défendons une approche humaine, claire, transparente et durable de l’assurance santé.
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Les architectes cotisent principalement à la Caisse interprofessionnelle des professions libérales (CIPAV), qui leur verse une retraite de base et complémentaire. Toutefois, les niveaux de pension servis par la CIPAV sont généralement faibles au regard des revenus générés pendant la carrière. En moyenne, un architecte libéral perçoit à la retraite entre 1 200 et 1 800 € brut par mois, loin de ses revenus d’activité. Sans solution complémentaire, cela entraîne une perte de niveau de vie significative, surtout si l’architecte exerce seul ou dans une petite structure. Un contrat d’épargne retraite, comme le PER individuel, permet de se constituer un capital ou une rente différée, tout en profitant d’un cadre fiscal avantageux. C’est donc une solution essentielle pour anticiper la baisse de revenus et s’assurer une retraite confortable, à la hauteur des efforts fournis durant la vie professionnelle.
Le Plan Épargne Retraite (PER), instauré par la loi Pacte, est parfaitement adapté aux professionnels libéraux comme les architectes. Il remplace avantageusement le contrat Madelin, en offrant plus de souplesse. Alors que le Madelin imposait une sortie en rente, le PER autorise une sortie en capital, en rente, ou mixte, selon les préférences du souscripteur au moment de la retraite. Par ailleurs, les versements effectués sont déductibles des revenus professionnels imposables, dans une limite élevée (jusqu’à environ 80 000 € par an pour les hauts revenus). Le PER permet aussi d’opter pour une gestion pilotée, adaptée à l’âge et à l’horizon de départ à la retraite, ce qui simplifie la stratégie d’investissement. En bref, le PER conjugue souplesse, fiscalité avantageuse et accessibilité, ce qui en fait un outil clé de la stratégie patrimoniale d’un architecte indépendant.
L’idéal est de souscrire un PER dès les premières années d’activité, afin de profiter pleinement de l’effet de capitalisation sur le long terme. Plus l’horizon de placement est long, plus l’architecte peut investir sur des supports dynamiques et ainsi optimiser la performance de son contrat. Par exemple, en versant 300 € par mois dès 30 ans, un architecte pourra se constituer un capital significatif à 65 ans, tout en réduisant chaque année son impôt sur le revenu. Toutefois, il n’est jamais trop tard pour commencer : à 45 ou 50 ans, les plafonds de déduction fiscale permettent de rattraper un certain retard, et il est possible d’ajuster le profil de gestion pour sécuriser progressivement le capital. En somme, le bon moment pour commencer, c’est maintenant, à condition d’adapter l’investissement à son âge, ses revenus et ses objectifs de retraite.
L’épargne retraite ne s’oppose pas à d’autres formes d’investissement, elle les complète intelligemment. L’architecte, souvent sensible à l’investissement immobilier (acquisition de bureaux, SCI, LMNP), peut diversifier ses actifs en intégrant un PER pour la retraite et une assurance vie pour la transmission ou les projets à moyen terme. Chaque enveloppe a sa fiscalité propre : le PER est idéal pour réduire la pression fiscale sur les revenus professionnels ; l’assurance vie, elle, offre de la liquidité et une fiscalité avantageuse après 8 ans ; l’immobilier, enfin, produit des revenus complémentaires, mais peut être lourd à gérer à la retraite. L’enjeu est de bâtir une stratégie patrimoniale cohérente, en fonction de l’horizon, de la tolérance au risque et des objectifs : retraite, transmission, protection du conjoint, revenus passifs. Un accompagnement personnalisé est souvent utile pour orchestrer ces outils de manière efficace et adaptée.
Le PER est particulièrement pertinent pour les architectes soumis à une forte pression fiscale, notamment ceux imposés dans les tranches à 30 %, 41 % ou 45 %. Les versements effectués sont déductibles du revenu professionnel imposable, dans une limite de 10 % des bénéfices non salariaux (BNC) de l’année précédente, avec un plafond majoré (jusqu’à environ 81 000 €). Cela signifie qu’un architecte imposé à 41 % peut économiser plus de 4 000 € d’impôts pour 10 000 € versés sur un PER. À la retraite, les sommes perçues seront imposées à un taux souvent inférieur, car les revenus baissent. De plus, en cas de sortie en capital, seuls les intérêts sont soumis à la fiscalité, avec option pour un prélèvement forfaitaire libératoire. Le PER permet donc un effet d’optimisation fiscale dans le temps, en déplaçant l’imposition vers une période où elle est moins lourde. C’est un levier puissant pour équilibrer fiscalité, sécurité et préparation de l’avenir.
